Soumis par Anonyme (non vérifié) le
Nom du soldat
Mainvialle
Grade
Sergent major
Classe
1895
Faits d’armes
Le bataillon quitte Annecy le 5 août 1914 et est engagé dans les Vosges. Il y combat d'abord pour repousser la couverture ennemie (Lac Blanc), puis pour couvrir le repli (Charbonnière les 18 et 20 août - Stampoumont le 22 août), et enfin pour arrêter définitivement et faire reculer l'armée ennemie (Le Kemberg Alsace du 2 au 6 septembre 1914).
Date de naissance
15 février 1875
Lieu de naissance
Plainpalais , Genève (Suisse)
Date de décès
02 septembre 1914
Lieu d’inhumation
Inhumé dans la concession familiale au cimetière de Sceaux. Sa veuve Eugénie née Marcout achète une concession perpétuelle pour son couple et sa belle-sœur le 19 décembre 1920. En 1948, elle demande à ce que la concession perpétuelle soit au profit de sa famille.
Lieu de décès
A l'hôpital Desgenettes , Lyon (Rhône)
Profession
Employé de commerce
Situation familiale
Il se marie à Eugénie Marcout, employée de commerce, le 7 septembre 1905 à Paris. A cette date, ils habitent rue de l'Entrepôt (maintenant rue Yves Toudic) à Paris 10e arrondissement. Louis est représentant en tissus et travaille en Belgique et aux Pays-Bas. Eugénie passe les six mois d'été à Robinson sous le grand arbre et regagne Paris en hiver.En 1913, Simone, leur fille, est en âge d'être scolarisée, il leur faut choisir une résidence à l'année et c'est à Sceaux qu'ils s'établissent pour le bon air.A la mort de Louis, Eugénie doit reprendre le travail et emprunte quotidiennement le train qui mène à Paris, laissant sa fille sous la garde de sa grand-mère. La famille habite au 39 rue des Imbergères.Simone est employée à la mairie entre juin 1941 et juillet 1967.
Prénom du soldat
Louis
Jules
Spécialisation
Représentant en tissus
Plaques
Nom gravé sur la plaque de l'église Saint-Jean-Baptiste à Sceaux.
Corps/régiment
11e bataillon de chasseurs alpins
Précisions
Un avis du 13 janvier 1915 indique qu'il est décédé à l'asile d'aliénés de Bron (Rhône-Alpes)