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Lieu de décès
Cumières-le-Mort-Homme (Meuse)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Médaille(s)
Médaille militaire
Croix de Guerre - Etoile de bronze
Situation familiale
Sa mère est décédée en couches et il a été élevé par Mlle Martineau.Sa veuve, Frémy Armande, habite 21 rue du Four puis s'installe au 27 rue de Châtenay. Elle devient maîtresse de pension en 1921.
Date de naissance
02 septembre 1881
Lieu de naissance
Sceaux (Hauts-de-Seine)
Lieu d’inhumation
Dans la nécropole nationale de Landrecourt-Lempire (Meuse), carré A, rang 8.
Faits d’armes
Il est blessé en 1914.Décret présidentiel du 19 mars 1920 : A toujours été vaillant soldat faisant constamment preuve de courage et de dévouement. Tombé glorieusement pour la France..
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Date de décès
13 novembre 1916
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Acte transcrit à Sceaux le 21 octobre 1917.
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau, Paris
Profession
Employé à la direction du service technique de la région de Paris (extra muros)
Situation familiale
Il est employé à la direction du service technique de la région de Paris depuis le 14 février 1914.Ses parents habitent au 159 rue Houdan au moment de son recrutement. Son père est laboureur et sa mère ménagère, puis ils deviennent journaliers.Son frère Julien Augustin est né à Sceaux en 1891. Il habite également au 159 rue Houdan. Il entre à l'école en 1900. Il est recruté en 1911.Son autre frère, Henri François, est né en 1889 à Limours (Essonne). Il entre en 1897 à l'école congrégationniste et en sort en 1901. Il devient oxydeur sur cuivre. Il se marie en 1921 à Sceaux avec Antoinette Kueny, belle soeur du soldat Maurice Lemoine inhumé dans le carré militaire de Sceaux à son décès en 1927.Henri décède en 1922 à son domicile, 6 rue du Four à Sceaux et est inhumé dans le carré militaire, allée 3, ligne droite, tombe 13.
Date de naissance
01 septembre 1883
Lieu de naissance
Orsay (Essonne)
Lieu d’inhumation
Dans la nécropole nationale "Le Petant " de Montauville (Meurthe-et-Moselle), carré A, tombe 419.
Faits d’armes
il est mobilisé le 2 août 1914.
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Date de décès
05 juillet 1915
Spécialisation
Ouvrier journalier
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Jugement de décès rendu le 15 mars 1918 par le Tribunal de la Seine. Transcrit à Sceaux le 15 mai 1918.
Corps/régiment
368e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Aitos (Grèce)
Lieu de recrutement
Versailles (Yvelines)
Situation familiale
Il est célibataire sans enfants. Il habite chez Ernest Talobre, son beau-frère, au 6 rue du Four depuis ses 19 ans. Il lui a tenu lieu de père.Le soldat Alphonse Sablé était le mari de sa nièce Héloïse Talobre.
Date de naissance
20 juillet 1883
Lieu de naissance
Verrières-le-Buisson (Essonne)
Lieu d’inhumation
Inhumé en Macédoine, cote 993, coté nord d'Aitos en Grèce. Avis transmis à Ernest Talobre, son beau-frère.
Faits d’armes
Le 176e régiment d'infanterie fera toute la guerre hors de France. Il est aux Dardanelles, en Serbie, en Grèce et en Turquie. Créé en 1915, il est rattaché à la 2e division d'Orient.
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Date de décès
14 septembre 1916
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Corps/régiment
176e régiment d'infanterie, complément : Armée d'Orient 2e division d'orient, 312e bataillon d'infanterie
Lieu de décès
Au cantonnement , Champey (Haute-Saône)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Profession
Employé de commerce
Situation familiale
Sa femme est toujours à la même adresse en 1917. Elle gardera un neveu à la mort de ses parents. Il se prénomme Marcel et est né au Havre en 1906. Il ira à l'école.
Date de naissance
28 mars 1874
Lieu de naissance
Antony (Hauts-de-Seine)
Faits d’armes
Cité à l'ordre du régiment du 28 novembre 1917 : Conducteur de 2e classe a assuré le transports de matériaux dans les endroits fortement bombardés notamment dans le secteur de Verdun le 1er octobre 1917 (estacade de Helly). Toujours prêt pour les missions difficiles. Cité à l'ordre du corps.
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Date de décès
29 septembre 1918
Circonstance du décès
Maladie.
Précisions
Acte transcrit à Sceaux le 5 novembre 1919.
Corps/régiment
16e escadron du train
Spécialité
1er conducteur
Lieu de décès
Mer Méditerranée - Ile de San Pietro (Italie)
Lieu de recrutement
Blois (Loir-et-Cher)
Situation familiale
Il se marie à Ida Sautebin.
Date de naissance
23 juin 1873
Lieu de naissance
Poitiers (Vienne)
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Date de décès
04 octobre 1916
Circonstance du décès
Naufrage.
Précisions
Naufrage du Gallia à destination de Salonique.
Le 1er avis de disparition est envoyé le 13 octobre 1916 à la mairie. Madame Garnier est absente de chez elle le 15 octobre, mais elle vient en mairie le 17 et en est informée.
En janvier 1917, sa veuve fait une demande de secours à la mairie qui a besoin pour cela d'un certificat de décès. Le maire fait alors une demande pour obtenir ce certificat. En réponse, le bureau de comptabilité fournit un certificat de disparition à défaut du certificat de décès car Monsieur Garnier n'a pas été déclaré officiellement mort.
Jugement de décès rendu le 2 juillet 1917. Transcrit à Toulon le 31 octobre 1917, puis transcrit à Sceaux en 1922.
Corps/régiment
59e régiment d'infanterie territoriale
Lieu de décès
Les Eparges (Meuse)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Médaille(s)
Médaille militaire
Croix de Guerre - Etoile de bronze
Situation familiale
Il est le fils de Joseph Etienne Garnier, cultivateur, et de Jeanne Joséphine née Bourreaux.Il est domicilié avec sa mère au 20 rue du Four au moment de son mariage.Il se marie en 1901 à Alphonsine Bourgeois. Ils ont un fils, Paul Gustave, né à Sceaux en 1904 et entré à l'école libre en 1910. Il devient pupille de la nation en 1919.Son frère Emile est né le 14 avril 1879 à Sceaux. Il sera son témoin à son mariage. Il a eu son certificat d'études primaires et travaille à la culture de la terre à sa sortie de l'école en 1891. Il est, durant la guerre, sous-commandant du 1er génie de Poitiers. Il obtient la Croix de guerre. Il décède en son domicile, 4 rue du Four, en 1962.Son autre frère Edouard est né le 20 septembre 1880.
Date de naissance
08 novembre 1877
Lieu de naissance
Sceaux (Hauts-de-Seine)
Lieu d’inhumation
Inhumé au cimetière dit du Bois, fosse X, aux Eparges, aujourd'hui cimetière du Trottoir tombe 404 le 21 août 1921
Sa veuve souhaite faire rapatrier le corps..
Faits d’armes
Arrêté ministériel du 21 décembre 1920 : Soldat plein d'allant et d'entrain ayant toujours rempli avec un dévouement remarquable les missions qui lui étaient confiées.
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Date de décès
16 octobre 1915
Circonstance du décès
Des suites de ses blessures.
Précisions
Acte transcrit à Sceaux le 23 mars 1916.
Corps/régiment
303e régiment d'infanterie, 18e corps
Lieu de décès
Devant Orfeuil (Ardennes)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Médaille(s)
Croix de Guerre - Etoile de vermeil
Situation familiale
Il est le fils de Joseph Isidore, cultivateur, et de Paméla Estelle née Robinet.Son frère Henri Joseph est né à Sceaux en 1886 et est décédé le 6 juin 1926. Il est machiniste. Il habite au 1 rue Voltaire. Jules habitait chez lui avant la mobilisation et pendant les permissions. Son frère subvenait à ses besoins et lui envoyait des colis.Décédé en 1926, il est aussi inhumé dans le carré militaire.
Date de naissance
30 mars 1893
Lieu de naissance
Sceaux (Hauts-de-Seine)
Lieu d’inhumation
Dans le carré militaire du cimetière de Sceaux, allée 2, ligne droite, tombe 15.
Faits d’armes
Il est soigné sur le navire hôpital Tchad le 27 janvier 1916 et son état "inspire de graves inquiétudes". Du 24 au 29 janvier, le navire est en quarantaine à Marseille pour éviter la propagation du typhus exanthématique. Guéri, il est renvoyé au Front.Cité à l'ordre du régiment : Après avoir participé aux reconnaissances de brèches préparatoires de l'attaque de sa compagnie, a conduit avec élan, pendant l'attaque du 10 novembre 1917 un groupe de grenadiers qui a atteint son objectif dans les organisations allemandes, malgré un feu violent de mitrailleuses. Sous-officier d'un courage exemplaire et absolu. A brillamment conduit sa demi-section à l'assaut des positions ennemies. A été tué au moment où il abordait la position ennemie.
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Date de décès
05 septembre 1918
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Acte transcrit à Sceaux le 7 juin 1919.
Corps/régiment
156e régiment d'infanterie
Spécialité
Soldat de 1ère classe le 3 décembre 1915, caporal le 8 mars 1916, sergent le 27 juin 1918.
Lieu de décès
A l'hôpital du Panthéon, Paris
Lieu de recrutement
Sceaux 2e bureau , Sceaux (Hauts-de-Seine)
Profession
Employé de commerce
Médaille(s)
Médaille militaire
Croix de Guerre
Situation familiale
Il est célibataire.Il est le fils de Adolphe Edmé Gelin, trésorier de la Fédération générale des pères et mères des "Morts pour le France", et de Emilie Ernestine Jeanne née Derouet, présidente de cette fédération.Il habite au domicile de ses parents à son recrutement, 80 rue de Bagneux.Son frère Albert s'engage volontairement en 1918.
Date de naissance
22 mai 1893
Lieu de naissance
Paris , 75006
Faits d’armes
Blessé le 21 août 1914 à Tamines en Belgique (70e régiment d'infanterie). De nouveau blessé le 24 mai 1915 à Fricourt près d'Arras, puis blessé le 2 mai 1916 et traité à l'hôpital. Donne de graves inquiétudes.Excellent sous officier d'une bravoure exemplaire. Déjà deux fois blessé au cours de la campagne, a été de nouveau atteint d'une blessure très grave le 2 mai 1916 alors qu'il combattait pour repousser une attaque ennemie.
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Date de décès
15 juillet 1916
Nota bene
Inscrit "E. Gelin" sur le monument.
Circonstance du décès
Des suites de ses blessures.
Corps/régiment
41e régiment d'infanterie, 12e compagnie
Lieu de décès
Souchez (Pas-de-Calais)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Profession
Garçon nourrissier
Situation familiale
Il est le fils d'Achille Géroux, nourisseur, et de Juliette née Dovoy, domiciliés au 29 rue Voltaire.Il se marie à Gabrielle Pelletier. Sa veuve habite ruelle des Agriculteurs.Son frère Arthur, 356è régiment d'infanterie, est supposé disparu le 29 juin 1917 à la cote 304 secteur d'Esnes (Meuse). La femme d'Arthur, domiciliée au 19 rue Voltaire, n'a plus reçu de nouvelles depuis sa lettre du 27 juin1917. Il est en réalité fait prisonnier à Limbourg an der Lahn (Allemagne).En mai 1918, il est prisonnier au camp de Preussisch-Holland (section XIV), camp de regroupement situé en Prusse orientale. Il y reçoit un colis de la Société philantropique de Sceaux comprenant du chocolat, du pâté, du pudding et des haricots. Il a une fille en 1922 qui décédera à Sceaux. Arthur, né à Montmorency en1889, est allé à l'école du Centre du 1er octobre 1895 à 1902.Son frère Emile est né à Sceaux en 1895, est entré à l'école en 1901 et est sorti en 1903. Il habite ensuite Châtenay.
Date de naissance
27 novembre 1883
Lieu de naissance
Paris, 75018
Lieu d’inhumation
Dans la nécropole nationale Notre-Dame-de-Lorette à Ablain-Saint-Nazaire (Pas-de-Calais), carré 81, rang 2, tombe 16236.
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Date de décès
02 juin 1915
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Acte transcrit à Sceaux le 30 septembre 1916.
Corps/régiment
57e bataillon de chasseurs alpins
Lieu de décès
A l'ouest de Cumières-le-Mort-Homme (Meuse)
Lieu de recrutement
Seine 2e bureau, Paris
Profession
Ajusteur tourneur
Situation familiale
Il est le fils de Joseph Ferdinand Giroux et de Sophie née Cazenave Lalanne, cultivateurs. Ils habitent au 8 rue Voltaire.Sa veuve habite au 15 rue Raymond Py. Elle bénéficie du leg Boulogne en 1939.
Date de naissance
16 novembre 1895
Lieu de naissance
Paris, 75005
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Date de décès
09 avril 1916
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Acte transcrit à Sceaux le 21 juillet 1917.
Corps/régiment
151e régiment d'infanterie, 10e compagnie
