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Lieu de décès
Au combat du Bois de Couvon (Marne)
Lieu de recrutement
Versailles (Yvelines)
Profession
Ajusteur mécanicien
Situation familiale
Sa mère, née Singeot, est avisée le 2 septembre 1918.
Date de naissance
07 octobre 1898
Lieu de naissance
Palaiseau (Essonne)
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Date de décès
18 juillet 1918
Précisions
Jugement de décès rendu le 9 février 1922 par le Tribunal de Versailles (Yvelines). Transcrit à Palaiseau (Essonne) le 12 mars 1922.
Corps/régiment
Incorporé le 15 avril 1917 au 74e régiment d'infanterie, puis passe le 1er avril 1918 au 4e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Vauquois (Meuse)
Lieu de recrutement
Seine 4e bureau , Paris
Situation familiale
Marié le 2 juin 1906 à Juliette Gabrielle Marie Briau. Ont un fils, Louis Marcel, né à Paris en 1907. Ils habitent au 15 rue du Four à son entrée à l'école en 1917. Il venait de l'école libre, enfant très doux, postule pour les Postes. Naissance d'une fille, Marcelle Gabrielle, née à Sceaux en 1910, qui devient pupille en 1918.
Date de naissance
21 mai 1880
Lieu de naissance
Paris, 75003
Faits d’armes
Cité à l'ordre du régiment : "Excellent soldat, très courageux, très discipliné, toujours de bonne humeur, mortellement blessé à son poste de combat à Vauquois le 16 décembre 1914. En marge de l'acte de décès est notifié "Mort pour la France"" (avis du secrétariat des Anciens Combattants en date du 15 avril 1942).
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Date de décès
16 novembre 1914
Circonstance du décès
Des suites de ses blessures.
Précisions
Tué dans la nuit du 115 au 16 novembre 1914 sur une colline à 2km à l'est de Vauquois (renseignements donnés par un camarade)
Acte transcrit à Sceaux le 8 juin 1915.
Corps/régiment
4e régiment d'infanterie, 26e compagnie
Lieu de décès
A l'hôpital de la Charité, Paris
Lieu de recrutement
Loiron (Mayenne)
Situation familiale
Fils de Henri Houget et Françoise Landais. Il avait un frère jumeau Alexis Joseph. Il a habité à Paris de 1899 à 1904, puis s'est installé à Vanneau-les-Dames (Marne) en 1904, puis 9 rue Pavée à Vitry-le-François (Marne) en 1908. Marié le 21 septembre 1908 à Vitry-le-François à Juliette Albertine Herveux, née en 1886. Il travaillait à Vanneau-les-Dames (Marne) comme valet de chambre au moment de son mariage.Il est condamné à 15 jours de prison avec sursis par le Tribunal civil de Vitry-le-François pour escroquerie le 22 août 1912.Leur premier fils, Henri Léon, est né à Vitry-le-François en 1912. Arrivés à Sceaux en juillet 1913, ils habitent au 11 rue des Ecoles.Son second fils, Jean Julien, y naît en 1914. Les enfants sont adoptés par la Nation en 1919. Sa veuve habite 10 rue des Ecoles en 1964, puis au 11 en 1967.
Date de naissance
09 janvier 1877
Lieu de naissance
Loiron (Mayenne)
Lieu d’inhumation
Inhumé le 2 août 1917 ans le carré militaire de Sceaux Allée 1 Ligne Gauche Tombe 22.
Faits d’armes
A son incorporation il est classé dans les services auxiliaires pour "pointe de hernie". Il est passé dans la réserve le 1er novembre 1901. Il est maintenu aux services auxiliaires par la commission de réforme le 9 janvier 1915 et passe au bureau central en juillet 1915 à la 20e section de secrétaires d'état-major. Passe au 62e régiment d'infanterie le 9 novembre 1915.
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Date de décès
28 juillet 1917
Précisions
Entré à l'hôpital auxiliaire, 105 de Saint-Cloud, le 19 avril 1917 pour hernie inguinale droite volumineuse difficilement réductible. Sorti le 30 juin 1917 et admis d'urgence pour observation le même jour à l'hôpital de la Charité et décède de pyonéphrite (infection rénale) le 28 juillet 1917.
Avis de décès du 8 août 1917.
Corps/régiment
62e régiment d'infanterie, Peloton Hors Rang
Lieu de décès
Dieuze (Moselle)
Lieu de recrutement
Granville (Marne)
Situation familiale
Ses parents habitent au 18 rue du Lycée. Il est engagé volontaire en 1912 au titre de l'ENS. Se trouve à Orléans au 131e régiment d'infanterie au moment du conseil de révision. Son frère Henri habite aussi au 18 rue du Lycée. Il est blessé au combat de Saint-Rémy près de Longuyon (Meurthe-et-Moselle). Il est sous-lieutenant au 82e régiment d'infanterie. Son autre frère Marc est sous-lieutenant au 3e régiment d'infanterie. Il est blessé le 2 août au combat de Dieuze, disparu depuis.
Date de naissance
20 août 1893
Lieu de naissance
Paris, 75006
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Date de décès
20 août 1914
Circonstance du décès
Disparu au combat
Corps/régiment
3e régiment d'infanterie, 2e armée de Curières-de-Castelnau, 15e corps d'armée d'Espinasse, 29e division de Garbillet, 58e bataillon d'infanterie de Gasquy
Lieu de décès
Au bois de la Gruerie (Marne)
Lieu de recrutement
Toul (Meurthe-et-Moselle)
Situation familiale
Sa mère, veuve Poitou, habite à la même adresse.
Date de naissance
11 mai 1887
Lieu de naissance
Paris, 75014
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Date de décès
14 juillet 1915
Précisions
Avis de disparition du 13 août 1915.
Avis de décès du 23 août 1915.
Jugement de décès rendu le 14 février 1921 par le Tribunal de la Seine. Transcrit à Sceaux le 5 avril 1921.
Corps/régiment
168e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Dans la région de Vaux (Meuse)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Profession
Ingénieur agronome
Médaille(s)
Croix de Guerre - Etoile d'argent
Légion d'Honneur
Croix de Guerre - Etoile de bronze
Situation familiale
Fils de Henri Charles Alfred Ill et de Marie Elisabeth Marguerite Garnier. Ses parents habitent au 8 rue du Lycée. Il s'engage volontairement pour 3 ans à la mairie de Sceaux le 21 octobre 1911. Son frère Georges est né en 1891 à Paris. Il habite 8 rue du Lycée. Il est médecin aide major de 2e classe. Il est décoré de la médaille militaire et de la croix de guerre. Son frère Pierre Carlos, né en 1889, est recruté en 1909. Il est caporal (notifié le 22 avril 1918). Son frère Jean Etienne est recruté en 1916. Il est caporal au 134e régiment d'infanterie. Il obtient la médaille militaire et la croix de guerre avec étoile d'argent. Il est également inscrit sur le monument aux Morts.
Date de naissance
22 septembre 1892
Lieu de naissance
Paris, 75017
Lieu d’inhumation
Dans la nécropole nationale de Belleray, tombe 205.
Faits d’armes
Cité à l'ordre du régiment le 19 mai 1915 : "Le maréchal des logis Ill Jacques 3e escadron 22e régiment de dragons, le 6 septembre 1914 après une reconnaissance, s'étant trouvé dans la soirée séparé du régiment, a passé au milieu des colonnes allemandes en retraite les journées des 9 et 10 septembre en orée de Villers-Cotterêts, ralliant des cavaliers démontés et a pu rejoindre le 11 septembre avec son détachement la 55e division d'infanterie française".
Cité à l'ordre de la division : "Sous-lieutenant au 132e régiment d'infanterie, l'officier remarquable au feu, a brillamment le 27 septembre entraîné sa section au contact des réseaux ennemis après avoir traversé une grande clairière, sous le feu le plus violent".
Cité à l'ordre national de la Légion d'Honneur : "L'officier plein d'allant et d'audace et du plus bel esprit de sacrifice, placé avec sa section le 17 juin en un poste de combat, violemment battu par l'artillerie et les mitrailleuses allemandes, a été mortellement frappé au moment où il cherchait à repérer une mitrailleuse ennemi. A été cité "Mort pour la France" le 25 mai 1919".
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Date de décès
17 juin 1916
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi
Précisions
Acte transcrit à Sceaux le 12 novembre 1917.
Corps/régiment
22e régiment d'infanterie des dragons à Reims en 1912, puis 132e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Dans le secteur du Balcon (Marne)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Médaille(s)
Médaille militaire
Croix de Guerre - Etoile d'argent
Situation familiale
Fils de Henri Charles Alfred Ill et de Marie Elisabeth Marguerite Garnier. Ses parents habitent au 8 rue du Lycée. Son frère Georges est né en 1891 à Paris. Il habite 8 rue du Lycée. Il est médecin aide major de 2e classe. Il est décoré de la médaille militaire et de la croix de guerre. Son frère Pierre Carlos, né en 1889, est recruté en 1909. Il est caporal (notifié le 22 avril 1918). Son frère Jacques Marcel est sous-lieutenant au 132e régiment d'infanterie. Il obtient la légion d'honneur. Il est également inscrit sur le monument aux Morts.
Date de naissance
22 février 1896
Lieu de naissance
Houilles (Yvelines)
Faits d’armes
Arrêté ministériel du 31 mai 1922 : "Caporal d'une bravoure réputée. Est mort glorieusement pour la France le 1er mars 1918 à Balcon en faisant vaillamment son devoir".
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Date de décès
01 mars 1918
Précisions
Jugement de décès rendu le 9 septembre 1920 par le Tribunal de la Seine. Transcrit à Sceaux le 24 novembre 1920.
Corps/régiment
134e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Mesnil-les-Hurlus (Marne)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau, Paris
Profession
Aide-comptable
Médaille(s)
Médaille militaire
Croix de Guerre
Légion d'Honneur
Situation familiale
Fils de Victor Aristide Isambert, plombier, et de Désirée Pauline Chrétien. Ils habitent au 25 rue du Lycée. Son frère Marcel Victor, né en 1891 à Paris 14e, n'est pas appelé sous les drapeaux tout de suite, car Félix est déjà sur le front. Il a été blessé durant le conflit. Il reste à Sceaux au 1 sentier des Coudrais jusqu'à son décès. Leur père est arrivé à Sceaux lors de la construction du lycée Lakanal dans les années 1880, il était compagnon du Tour de France. Les deux frères habitaient à Châtenay-Malabry chez leur grand-mère.
Date de naissance
27 juin 1890
Lieu de naissance
Paris, 75014
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Date de décès
25 septembre 1915
Précisions
Il décède des suites de ses blessures sur l'acte de décès. Acte transcrit à Sceaux le 27 novembre 1915.
Corps/régiment
137e régiment d'infanterie
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Médaille(s)
Légion d'Honneur
Situation familiale
Son frère Pierre habite également au 3 rue Houdan (aujourd'hui 3 rue du Président Franklin Roosevelt) c'est à dire au lycée Lakanal où leur père est censeur des études.Ils appartiennent tous les deux au 51e régiment d'infanterie. Pierre est blessé le 8 septembre 1914 à Domrémy près de Blesmes lors de la bataille de la Marne et François le 22 octobre 1914 au bois de la Gruerie.
Date de naissance
17 janvier 1894
Lieu de naissance
Paris, 75005
Lieu d’inhumation
Dans la nécropole nationale du Bois de Bethelainville à Dombasle en Argonne tombe 781.
A l'origine plomb n°160 E
Faits d’armes
Cité le 15 septembre 1916 (attaque sur la Somme du 16 août 1916).Cité le 14 mai 1917 (sur l'Aisne).Cité le 3 novembre 1917 ('attaque du 24 août 1917).Cité à l'ordre national de la Légion d'Honneur le 25 mai 1919 : Jeune officier d'une bravoure et d'un entrain remarquable. Commandant une compagnie de mitrailleuses à l'attaque du 24 août 1917, a entraîné ses hommes avec son énergie habituelle et est tombé glorieusement dans les positions conquises. A été cité.
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Date de décès
24 août 1917
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Notifié à son père le 16 octobre 1917.
Acte rectifié à Sceaux le 19 janvier 1918.
Corps/régiment
128e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Haute-Avesnes (Pas-de-Calais)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau, Paris
Situation familiale
Il est le fils de Jean , professeur à la Sorbonne décédé en 1902, et de Louise Tremblay.Ses cousins, fils de Louis Joannis, architecte, habitent également au 7 rue des Imbergères et ont pris part au conflit.Pierre Eugène, soldat au 152e régiment d’infanterie, est porté disparu le 22 décembre 1915 à Hartmannswillerkopf (Vosges).Quant à Paul, téléphoniste au 168e régiment d’infanterie, il est blessé à l'épaule par une balle de schrapnel le 3 mars 1915 dans l'attaque du blockhaus du bois Le Prêtre.
Date de naissance
24 avril 1892
Lieu de naissance
Bordeaux (Gironde)
Lieu d’inhumation
Inhumé au cimetière communal de Hautes-Avesnes (orthographié Jeannis)
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Date de décès
11 mai 1915
Circonstance du décès
Des suites de ses blessures.
Précisions
Acte transcrit à Sceaux le 25 juin 1915.
Corps/régiment
69e régiment d'infanterie, 25e compagnie
