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Lieu de décès
Gournay-sur-Aronde (Oise)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau, Paris
Médaille(s)
Médaille militaire
Croix de Guerre avec Palme
Date de naissance
19 juillet 1897
Lieu de naissance
Paris , 75011
Faits d’armes
Cité à l'ordre du régiment du 23 mai 1917 : Le 22 mai 1917, à l'attaque s'est fait remarquer d'une façon particulière par son entrain et son courage (Bataille de l'Aisne). Très bon soldat. Cité à l'ordre du régiment du 4 août 1917 : Du 19 au 23 juillet 1917, a fait preuve d'un courage et d'une énergie digne de tout éloge, désigné pour aller à la corvée des distributions et pris sous un tir de barrage violent, a continué sa route sans se soucier du danger et est arrivé le premier pour ravitailler ses camarades de sa section donnant ainsi le plus bel exemple de courage et de dévouement. Arrêté ministériel du 15 novembre 1920, publié au Journal officiel du 10 février 1921 : Soldat d'élite et dévoué. Après avoir donné pendant toute la campagne, toute la valeur de son héroïsme, est tombé glorieusement pour la France le 13 juin 1918 à son poste de combat.
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Date de décès
13 juin 1918
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Acte transcrit à Paris 7e le 12 février 1919.
Corps/régiment
77e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Saint-Etienne-à-Arnes (Ardennes)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Médaille(s)
Croix de Guerre - Etoile d'argent
Situation familiale
Il est le fils de Jean-Marie Martin, secrétaire de mairie, habitant au 90 rue Houdan.
Date de naissance
06 août 1889
Lieu de naissance
Sceaux (Hauts-de-Seine)
Faits d’armes
Blessé le 24 août 1914 à Ethe (Belgique).Cité à l'ordre de division du 30 novembre 1918 : Martin Emile, sergent à la 3e compagnie du 102e régiment d'infanterie, excellent chef de section, plein d'énergie, a conduit avec le plus grand sang-froid sa section à l'attaque du 8 octobre 1918. A été tué en organisant la position sous le feu violent des mitrailleuses.
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Date de décès
08 octobre 1918
Nota bene
Inscrit deux fois sur la plaque de l'école du Centre au nom d'Emile et de d'Edmond.
Edmond Martin né à Sceaux le 28 mars 1899 et mort à Chevilly-Larue (Val-de-Marne) le 24 janvier 1973 a été confondu avec Emile Jean sur les registres d'état-civil de Chevilly-Larue.
Circonstance du décès
Des suites de ses blessures.
Précisions
Acte transcrit à Sceaux le 2 avril 1919.
Corps/régiment
102e régiment d'infanterie, 3e compagnie
Lieu de naissance
Sceaux (Hauts-de-Seine)
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Nota bene
A ne pas confondre avec Lucien Martin inscrit sur la plaque de l'école par erreur. Ce dernier a bien été scolarisé à l'école du Centre en 1901, mais il a survécu à la guerre.
Lieu de décès
Andrechy (Somme)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Profession
Garçon boucher
Situation familiale
Il se marie à Sceaux le 19 avril 1910 avec Lucie Brulé. Il habite au moment du mariage au 134 rue de la Glacière, puis s'installe en 1912 au 22 rue de l'Amiral-Mouchez à Paris 14e arrondissement.Au moment du décès sa femme est chez son père au 25 rue Voltaire.Elle se remarie en 1919.
Date de naissance
12 octobre 1885
Lieu de naissance
Villejuif (Val-de-Marne)
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Date de décès
04 novembre 1914
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Acte transcrit à Paris 14e le 16 mars 1915.
Corps/régiment
315e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Au bois de la Laufée , Damloup (Meuse)
Lieu de recrutement
Cosne (Nièvre)
Médaille(s)
Croix de Guerre - Etoile de bronze
Croix de Guerre - Etoile d'argent
Situation familiale
Il se marie en 1915 à Sceaux à Amandine Bée, sœur de Louis Bée (croix de guerre) conseiller municipal aux côtés d'Edouard Depreux pendant l'entre-deux guerres.Lors de son incorporation au service militaire, ils habitent au 7 rue Houdan, puis sa veuve s'installe au 6 rue du Four.Sa veuve s'est remariée le 15 novembre 1919 à Louis Langlois qui habite au 11 rue des Ecoles et y habite encore en 1927.
Date de naissance
13 janvier 1891
Lieu de naissance
Paris, 75018
Lieu d’inhumation
Initialement inhumé au cimetière de la Fontaine de Tavannes, tombe 185, puis transféré à la nécropole nationale de Douaumont (Meuse) le 9 octobre 1926, tombe 6261. Avis de transfert de sépulture envoyé à sa veuve en 1927.
Faits d’armes
Au moment de son mariage, caporal au 97e régiment d'infanterie de Bourges. Caporal le 11 mai 1915 puis sergent le 22 mai 1916.Cité à l'ordre de la brigade le 8 mars 1916 : A maintenu ses hommes sous le feu et s'est porté en avant dans un trou d'obus pour les entraîner. Cité à l'ordre de la division le 26 juillet 1916 : Sous-officier d'une très grande bravoure occupant une tranchée débordée par un ennemi très supérieur en nombre, a fait face à l'ennemi, encourageant ses hommes jusqu'au moment où il tomba mortellement frappé..
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Date de décès
22 juillet 1916
Nota bene
Son nom est orthographié avec deux "n" sur le monument.
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Acte transcrit à Chaulgnes (Nièvre), le 28 juin 1918.
Corps/régiment
95e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Rouvrois-sur-Othain (Meuse)
Lieu de recrutement
Verdun (Meuse)
Profession
Employé de banque ou contrôleur dans une fonderie
Situation familiale
Il se marie à Gabrielle Perignon dont il a eu deux enfants : Roger et Raymond. Sa veuve est réfugiée le 3 janvier 1916 venant d'Auboué (Meurthe-et-Moselle)juste avant le début de la bataille de Verdun. Elle est concierge au 37 rue des Imbergères où elle est logée. L'ancienne sous-préfecture appartient à l'amiral Jacques Chardon qui a perdu son fils Paul en septembre 1914.Ses beaux-parents sont eux-mêmes réfugiés et demeurent au 33 rue des Ecoles. Le décès est notifié à son père Théophile Molinet le 18 décembre 1915 qui était déjà au courant de sa disparition.Son fils, Roger, habite également le 33 rue des Ecoles, quand il est envoyé à l'hôpital des Enfants Malades en septembre 1916.En 1920, Gabrielle Molinet déclare ne pas vouloir être rapatriée dans sa commune d'origine n'ayant habité à Auboué que quatre ans et la ville dont ses parents sont originaire, Ornes est complètement détruite et considérée aujourd'hui comme ville "morte pour la France".La famille reste à son et Roger Molinet devient géomètre à Sceaux et reprend le cabinet Mascré à partir de 1952.
Date de naissance
16 novembre 1880
Lieu de naissance
Ornes (Meuse)
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Date de décès
24 août 1914
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Jugement de décès rendu par le Tribunal de Briey (Meurthe-et-Moselle). Transcrit à Auboué (Meurthe-et-Moselle) le 23 décembre 1920.
Corps/régiment
162e régiment d'infanterie, 70e compagnie
Lieu de décès
Vauquois (Meuse)
Lieu de recrutement
Versailles (Yvelines)
Profession
Peintre en bâtiment
Situation familiale
Lors de son service militaire, il habite au 27 rue Houdan, puis en 1913 s'installe à Paris, et enfin, le 15 juillet 1914 il s'installe à Gif-sur-Yvette.Il est le fils de Jules Victor Montoya et de Valentine née Thévenin, décédée en 1897. Ils habitent 43 rue Houdan à sa naissance. Son père sait jouer de la contrebasse et fait partie de la fanfare de l'Orphéon en 1876. Il est également peintre en bâtiment. Il habite par la suite au 6 rue du Four.Son frère Lucien Armand est Mort pour la France le 3 octobre 1914 et figure aussi sur le monument de la Ville.
Date de naissance
30 décembre 1888
Lieu de naissance
Sceaux (Hauts-de-Seine)
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Date de décès
26 septembre 1914
Circonstance du décès
Disparu au combat.
Précisions
Jugement de décès rendu le 6 juillet 1920 par le Tribunal de Versailles (Yvelines). Transcrit à Gif-sur-Yvette (Essonne).
Corps/régiment
82e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Au lazaret , Dun-sur-Meuse (Meuse)
Lieu de recrutement
Versailles (Yvelines)
Profession
Peintre en bâtiment
Situation familiale
Il est le fils de Jules Victor Montoya et de Valentine née Thévenin, décédée en 1897. Son père sait jouer de la contrebasse et fait partie de la fanfare de l'Orphéon en 1876. Il est également peintre en bâtiment. Ses parents habitent au 6 rue du Four.Il se marie en 1907 à Adeline Leroux, décédée en 1910 à Sceaux. C. Leroux devient le tuteur de son fils qui est adopté par la Nation en 1920.En 1909, la famille habite au 27 rue Houdan puis par la suite s'installe au 33 rue Houdan.Son frère André est "Mort pour la France" le 26 septembre 1914 et figure aussi sur le monument de la Ville.
Date de naissance
09 mai 1883
Lieu de naissance
Sceaux (Hauts-de-Seine)
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Date de décès
03 octobre 1914
Circonstance du décès
Des suites de ses blessures.
Précisions
Jugement de décès rendu le 31 mai 1921 par le Tribunal de Versailles (Yvelines). Transcrit à Gif-sur-Yvette (Essonne) le 21 août 1921.
Corps/régiment
289e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Au bois des Caurières , Bezonvaux ( Meuse)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau, Paris
Médaille(s)
Croix de Guerre - Etoile de bronze
Situation familiale
Il est la fils de Joseph Marie Morvan et de Marguerite Catherine née Mottot, journaliers.Son frère Henri, né en 1893 à Sceaux, est recruté en 1913. Il entre à l'école en 1900.Son frère Georges, né en 1897 à Sceaux, est recruté en 1917.
Date de naissance
31 août 1891
Lieu de naissance
Sceaux (Hauts-de-Seine)
Faits d’armes
Cité à l'ordre du régiment n°84 du 8 juillet 1917 : Sous-officier remarquable de courage et d'énergie, blessé deux fois au cours de la campagne, a participé aux combats sur la Meuse en août 1914, en Argonne en 1915. Au cours des opérations offensives en Champagne (avril 1917) a été pour ses hommes un modèle de bravoure et d'abnégation.
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Date de décès
08 septembre 1917
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Acte transcrit à Sceaux le 17 janvier 1918.
Corps/régiment
168e régiment d'infanterie (venu du 4e régiment d'infanterie), 7e compagnie
Lieu de décès
A l'hôpital Sainte-Barbe, Bruay-en-Artois (Pas-de-Calais)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Profession
Employé de commerce
Situation familiale
Il est le fils de Jules Mousnier, pharmacien, qui fut conseiller municipal de 1884 à 1920. Il fut également membre du comité pour l'érection du monument jusqu'à sa mort en 1920.Son frère Yvon est né à Sceaux en 1888.La famille habitait à ce moment-là au 26 rue Houdan.
Date de naissance
27 janvier 1885
Lieu de naissance
Sceaux (Hauts-de-Seine)
Lieu d’inhumation
Initialement inhumé sur place à Bruay-en-Artois (Pas-de-Calais) aujourd'hui Bruay-la--Bussière.
Dans le caveau familial à Saujon (Charente-Maritime), comme le laisse penser l'éloge funèbre prononcé en 1920 à l'occasion du décès de son père.
Faits d’armes
Cité à l'ordre du régiment du 19 juillet 1915 : Était présent à l'affaire de Vernelles le 1er décembre 1914, s'y est fait remarquer et a contribué par sa belle conduite à faire citer son unité à l'ordre de l'armée.
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Date de décès
30 décembre 1914
Circonstance du décès
Des suites de ses blessures.
Précisions
Il est blessé au combat de Venelles.
Corps/régiment
109e régiment d'infanterie
