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Lieu de décès
Méhoncourt (Meurthe-et-Moselle)
Lieu de recrutement
Bourg-en-Bresse (Ain)
Situation familiale
Il se marie à Marie Riolo dont il a eu un fils, Louis Marius, né en 1904. Ils habitent au 102 rue Houdan depuis le 17 juillet 1914.
Date de naissance
15 avril 1884
Lieu de naissance
Bourg-en-Bresse (Ain)
Lieu d’inhumation
Initialement inhumé à Méhoncourt.
Avec "ses malheureux camarades" selon la réponse du maire de Méhoncourt en mai 1915.
Dans l'ossuaire 1 de la nécropole nationale de Gerbéviller (Meurthe-et-Moselle). La nécropole a reçu les corps inhumés dans la campagne aux environs de Gerbéviller et des communes Charmes, Haroué, Moyen, Chenevières, ainsi que des hôpitaux militaires de la région.
Faits d’armes
Il a participé à la Bataille de la Trouée de Charmes du 23 au 26 août 1914, victoire défensive de l'armée française.
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Date de décès
25 août 1914
Nota bene
Les renseignements tirés de sa fiche individuelle des "Morts pour la France" (différents de ceux de son acte de décès) :
Son décès est daté du 27 janvier 1916.
Il est porté disparu au Bois des Dragons (Vosges).
Circonstance du décès
Des suites de ses blessures.
Précisions
Le sergent Préty indiquait dans une lettre que ce jour là le caporal Myard "s'était porté en avant et n'a plus été vu depuis".
Jugement de décès rendu le 18 janvier 1918. Transcrit à Sceaux le 6 mars 1918.
Corps/régiment
223e régiment d'infanterie (régiment de réserve), 17e compagnie
Lieu de décès
Goyencourt (Somme)
Lieu de recrutement
Lyon (Rhône)
Profession
Employé d'administration
Médaille(s)
Croix de Guerre - Etoile de bronze
Croix de Guerre - Etoile d'argent
Situation familiale
Il se marie à Madeleine Marguerite Boucher. Ils s'installent à Sceaux entre 1913 et 1914.
Date de naissance
26 décembre 1885
Lieu de naissance
Lyon (Rhône)
Lieu d’inhumation
Dans la nécropole nationale d'Hattencourt (Somme), tombe 458.
Faits d’armes
Fait sergent en juin 1915 et promu adjudant le 15 août 1916.Cité à l'ordre de la 47e Division du 28 août 1916 : Excellent chef de section énergique et calme, a remarquablement conduit son groupe de fusiliers et tirailleurs au cours des journées de juillet 1916, en août a pris le commandement de la compagnie pour la conduire au combat et pendant la journée suivante a maintenu par son énergie le moral de ses hommes pour leur faire exécuter des travaux pénibles sous les bombardements.
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Date de décès
16 août 1918
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Devant le bois en Z à Damery (Somme)
Acte transcrit à Sceaux le 9 février 1919.
Corps/régiment
52e bataillon de chasseurs alpins
Lieu de décès
A l'hôpital auxiliaire n°15 , Clermont (Oise)
Lieu de recrutement
Verdun (Meuse)
Date de naissance
23 août 1880
Lieu de naissance
Avril (Meurthe-et-Moselle)
Lieu d’inhumation
Dans le carré militaire de Sceaux, allée 1, ligne droite, tombe 18.
Faits d’armes
Gendarme à la légion de Paris jusqu'au 20 décembre 1914, passé comme sergent au bataillon d'Afrique en Algérie jusqu'au 27 mars 1917, réintégré dans la légion de gendarmerie de Paris. A servi à Sceaux.
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Date de décès
09 janvier 1919
Circonstance du décès
Maladie.
Précisions
Il décède d'une broncho-pneumonie.
Corps/régiment
193e section de gendarmerie
Spécialité
Le grade de gendarme prend place entre le grade de sergent et celui de sergent-chef (sous-officiers).
Lieu de décès
Haraucourt (Meurthe-et-Moselle)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Profession
Peintre en voiture
Situation familiale
Il se marie à Amélie Riaux. Il est le fils d'Edouard Auguste Nouat, peintre en bâtiment, et de Anna née Bouguet.Louis habite au 60 rue des Arts à Levallois-Perret depuis le 23 août 1911. Ses parents habitent 28 rue des Ecoles lors de son service militaire.
Date de naissance
20 novembre 1882
Lieu de naissance
Levallois-Perret (Hauts-de-Seine)
Faits d’armes
Ajourné pour faiblesse en 1903. Bon pour le service en 1904. Passé dans la réserve en 1906.
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Date de décès
25 juillet 1914
Circonstance du décès
Disparu au combat.
Précisions
Jugement de décès rendu le 5 novembre 1920 par le Tribunal de la Seine. Transcrit à Sceaux le 30 janvier 1921.
Corps/régiment
146e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Herleville (Somme)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Médaille(s)
Médaille militaire
Situation familiale
En 1900, il habite chez sa mère au 6 rue du Four.Il se marie en 1906 à Louise Fourrier, dont il a eu deux enfants en 1906 et 1908. En 1906, ils habitent au 63 rue Houdan et en 1908 habitent au 3 rue Voltaire. Sa veuve reste à cette adresse.Il a un frère Henri, né en 1872 et décédé en 1932. Il était conducteur typographe depuis le 18 août 1885 à l'imprimerie Charaire et habitait au 48 rue du Docteur-Thore. Il bénéficiat des soin gratuits aux victimes militaires pour avoir subi l'amputation de la jambe gauche .Fils d'Angélique Victoire, manœuvrière à l'imprimerie Charaire. Elle est bénéficiaire du legs Quesney en juin 1921 pour son travail à l'imprimerie comme balayeuse-laveuse depuis le 15 juin 1871.
Date de naissance
25 avril 1880
Lieu de naissance
Sceaux (Hauts-de-Seine)
Lieu d’inhumation
Initialement inhumé au cimetière militaire provisoire du moulin de Foucaucourt (Somme)
Transféré a Nécropole nationale de Lihons (Somme), tombe 2199 le 25 janvier 1922.
Faits d’armes
Condamné le 18 septembre 1900 par le Tribunal correctionnel de la Seine à trois mois de prison avec sursis pour outrage et rébellion à agents. Clairon en 1902. Passé dans la réserve en 1904. Soldat très courageux, est tombé à son poste de combat où il faisait bravement son devoir le 16 juillet 1916 à la Somme. A été cité.
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Date de décès
16 juillet 1916
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Transcrit à Sceaux le 30 décembre 1917.
Corps/régiment
273e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Maurupt-le-Montois(Marne)
Lieu de recrutement
Versailles (Yvelines)
Situation familiale
Sa femme dont il a eu trois enfants est âgée de 24 ans à son décès. Elle habite Pantin.La mère de Julien Patoux habite au 26 rue Voltaire à Sceaux.
Date de naissance
01 février 1889
Lieu de naissance
Montfermeil (Seine-Saint-Denis)
Lieu d’inhumation
Probablement au cimetière militaire de Maurupt-le-Montois (Marne).
Quand sa mère est informée le 11 mars 1916 du décès de son fils, la famille est déjà au courant de la disparition depuis longtemps et s'est déjà rendue à Maurupt. Elle y a vu une tombe isolée au nom de Patoux, mais sans prénom. Le dépôt n'a pas su dire s'il existait un autre Patoux au 128e régiment d'infanterie.
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Date de décès
09 septembre 1914
Circonstance du décès
Des suites de ses blessures.
Précisions
Jugement de décès rendu le 20 septembre 1917 par le Tribunal de la Seine. Transcrit à Pantin (Seine-Saint-Denis) le 20 novembre 1917.
Corps/régiment
128e régiment d'infanterie
Lieu de décès
A l'hôpital auxiliaire Saint-Charles n°57 , Sainte-Ménehould (Marne)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Date de naissance
28 juillet 1894
Lieu de naissance
Paris, 75014
Lieu d’inhumation
Il existe un Patte (F) inhumé à la nécropole nationale de Bligny (Marne).
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Date de décès
04 février 1915
Circonstance du décès
Des suites de ses blessures.
Précisions
L'hôpital auxiliaire Saint-Charles n°57 et l'hôpital Margaine (installé dans l'école de garçons) dépendent de l'hôpital central de Sainte-Ménehould installé dans la caserne Valmy.
Corps/régiment
151e régiment d'infanterie, 27e compagnie
Lieu de décès
Ecurie (Pas-de-Calais)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Situation familiale
Il est célibataire. Il s'engage volontairement pour la durée de la guerre le 13 septembre 1914 au 56e régiment d'artillerie. Il arrive au corps le 17 septembre 1914.Son frère Théodore, né à Sceaux en 1889, habite à la même adresse. Il entre à Cochin en juin 1920 et décède en son domicile en 1921.Son frère Victor Jules est commis libraire. Il est engagé volontaire le 13 septembre 1914 au 56e régiment d'infanterie à Montpellier.
Date de naissance
03 juin 1895
Lieu de naissance
Sceaux (Hauts-de-Seine)
Lieu d’inhumation
Dans une tombe collective à la Nécropole nationale Notre-Dame-de-Lorette (Pas-de-Calais), carré 20, rang L, tombe 3908.
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Date de décès
05 mai 1915
Circonstance du décès
Disparu au combat.
Précisions
Jugement de décès rendu le 18 novembre 1921. Transcrit à Sceaux le 7 janvier 1922.
Corps/régiment
319e régiment d'infanterie
Lieu de décès
Entre le ravin de la Hayette et le Mort-Homme , Cumières (Meuse)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Profession
Employé de tramway
Médaille(s)
Médaille militaire
Situation familiale
Sa mère touche l'allocation militaire en 1914.
Date de naissance
09 septembre 1884
Lieu de naissance
Millaux (Cher)
Lieu d’inhumation
Inhumé au cimetière Nord Ouest de Frémeréville Tombe 71 n°664
Faits d’armes
Mobilisé le 11 août 1914
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Date de décès
28 janvier 1917
Précisions
Acte transcrit à Sceaux le 21 juillet 1917.
Cumières-Le Mort-Homme est l'un des villages français détruits durant la Première Guerre mondiale qui n'a jamais été reconstruit et déclaré « village mort pour la France » à la fin des hostilités.
Corps/régiment
217e régiment d'infanterie
Lieu de décès
A l'hôpital n°73 , Dijon (Côte-d'Or)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Profession
Clerc de notaire
Situation familiale
Son père est électricien et sa mère limonadière.
Date de naissance
04 mars 1889
Lieu de naissance
Paris, 75015
Lieu d’inhumation
Initialement inhumé le 10 décembre 1919 en division 5 Allée C ligne gauche tombe 4.
Aujourd'hui dans l'ossuaire des perpétuelles.
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Date de décès
28 septembre 1918
Circonstance du décès
Maladie.
Précisions
La veille un télégramme est envoyé avec la mention "prévenir la famille, état grave"
Il décède d'une maladie contractée en service.
Corps/régiment
13e régiment d'infanterie
