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Lieu de décès
L'Epine (Marne)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau, Paris
Profession
Menuisier d'aviation
Situation familiale
Son père est typographe. Son frère Raymond s'est marié à Sceaux en 1922. Il est mécanicien et habite a la même adresse. Ce dernier entre à l'école en 1909, obtient son certificat et sort en 1912. Bon élève, intelligence au-dessus de la moyenne. Il travaille dans les aéroplanes. il s'engage volontairement en 1918 et sera décoré de la Croix de guerre.En 1909, ils habitent 30 rue des Ecoles.
Date de naissance
30 juillet 1892
Lieu de naissance
Bernay (Eure)
Lieu d’inhumation
Initialement inhumé au cimetière de l'église de L'Épine, puis transféré au cimetière de Sceaux le 28 mars 1922 dans la 13 division, allée 1, ligne gauche, tombe n°6.
Faits d’armes
Raincourt le 24 décembre 1914, cité à l'ordre du 1er groupe de bombardement : Caporal Maillard bombardier [et son pilote] à la 1ère escadrille de bombardement le 20 décembre 1914, au cours d'une mission aérienne qui leur avait été confiée, ont eu leur appareil atteint par de nombreux éclats de shrapnels ennemis. Sans se laisser intimider par le feu violent et bien réglé qui était dirigé contre eux par l'artillerie, ont continué le bombardement du village de Givenchy jusqu'à épuisement de leurs bombes. Melette le 14 février 1915, cité à l'ordre du 1er groupe de bombardement : Sergent Maillard bombardier observateur à l'escadrille VBI, le 4 février 1915, en revenant de lancer des obus sur le parc d'aviation signalé vers Ville-sur-Oron, ont rencontré un des avions Albatros venus pour bombarder Verdun. Se sont mis résolument en travers de sa route et l'ont attaqué à 200m de distance par 2000m d'altitude, ont conservé le contact et n'ont atterri qu'après avoir épuisé les minutions de leur mitrailleuse (100 cartouches). Après l'atterrissage, l'inspection de l'appareil a montré 5 balles, bien groupées dans le plan supérieur. Le 8 mars 1915 (IVe armée Etat-major aéronautique), cité à l'ordre du jour de l'armée : Il a fait preuve de la plus brillante audace et d'un dévouement absolu au cours de nombreuses missions de bombardement, est tombé glorieusement au cours d'une mission en vol de nuit le 6 mars 1915.
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Date de décès
24 février 1915
Circonstance du décès
Accident d'avion.
Précisions
Il décède suite à la chute de son avion en service commandé (vol de nuit devant l'ennemi). Acte transcrit à Sceaux le 8 septembre 1916
Corps/régiment
1er groupe de bombardement, escadrille VB1
Spécialité
Observateur-bombardier
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Nota bene
L'initiale du prénom est "M" sur le Livre d'or et "L" sur le monument aux Morts.
Son nom a été ajouté sur le monument après l'inauguration.
Lieu de décès
La Chavatte (Somme)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau, Paris
Profession
Employé de commerce
Date de naissance
02 juillet 1881
Lieu de naissance
Valenton (Val-de-Marne)
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Date de décès
25 septembre 1914
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Jugement de décès rendu le 5 décembre 1920 par le Tribunal de la Seine. Transcrit à Sceaux le 7 janvier 1921.
Corps/régiment
153e régiment d'infanterie, 27e armée de Curières-de-Castelnau, 20e corps d'armée de Balfourier, 39e division de Dantant, 77e bataillon de Wirbel
Lieu de décès
A l'hôpital Desgenettes , Lyon (Rhône)
Profession
Employé de commerce
Situation familiale
Il se marie à Eugénie Marcout, employée de commerce, le 7 septembre 1905 à Paris. A cette date, ils habitent rue de l'Entrepôt (maintenant rue Yves Toudic) à Paris 10e arrondissement. Louis est représentant en tissus et travaille en Belgique et aux Pays-Bas. Eugénie passe les six mois d'été à Robinson sous le grand arbre et regagne Paris en hiver.En 1913, Simone, leur fille, est en âge d'être scolarisée, il leur faut choisir une résidence à l'année et c'est à Sceaux qu'ils s'établissent pour le bon air.A la mort de Louis, Eugénie doit reprendre le travail et emprunte quotidiennement le train qui mène à Paris, laissant sa fille sous la garde de sa grand-mère. La famille habite au 39 rue des Imbergères.Simone est employée à la mairie entre juin 1941 et juillet 1967.
Date de naissance
15 février 1875
Lieu de naissance
Plainpalais , Genève (Suisse)
Lieu d’inhumation
Inhumé dans la concession familiale au cimetière de Sceaux.
Sa veuve Eugénie née Marcout achète une concession perpétuelle pour son couple et sa belle-sœur le 19 décembre 1920. En 1948, elle demande à ce que la concession perpétuelle soit au profit de sa famille.
Faits d’armes
Le bataillon quitte Annecy le 5 août 1914 et est engagé dans les Vosges. Il y combat d'abord pour repousser la couverture ennemie (Lac Blanc), puis pour couvrir le repli (Charbonnière les 18 et 20 août - Stampoumont le 22 août), et enfin pour arrêter définitivement et faire reculer l'armée ennemie (Le Kemberg Alsace du 2 au 6 septembre 1914).
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Date de décès
02 septembre 1914
Spécialisation
Représentant en tissus
Précisions
Un avis du 13 janvier 1915 indique qu'il est décédé à l'asile d'aliénés de Bron (Rhône-Alpes)
Corps/régiment
11e bataillon de chasseurs alpins
Situation familiale
L'avis de décès est transmis à sa mère, veuve en novembre 1918.
Date de naissance
28 décembre 1884
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Date de décès
28 septembre 1918
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
A la ferme Gerbant dans les environs d'Aizy (Aisne)
Acte rectifié transcrit à Ris-Orangis le 7 août 1919.
Corps/régiment
127e régiment d'infanterie, 5e compagnie
Lieu de décès
A l'hôpital temporaire n°52, Noeux-les-Mines (Pas-de-Calais)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau, Paris
Situation familiale
Son père Pierre Malvezin est ingénieur civil.
Date de naissance
07 juillet 1894
Lieu d’inhumation
Initialement inhumé au cimetière communal de Noeuds-les-Mines (Pas-de-Calais) tombe 686.
Son corps a été rapatrié dans le caveau familial du cimetière de Sceaux le 21 janvier 1921 en division 13 Allée 1 ligne droite tombe 21.
Monsieur et Madame Malvezin, 95 rue Denfert-Rochereau à Paris, achètent une concession perpétuelle pour le couple, Pierre Malvezin, Joseph Malvezin et Madame Veuve Malvezin née Aubert, le 17 juillet 1920.
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Date de décès
25 mai 1915
Prénom du soldat
Joseph
Théophile
Charles
Ernest
Circonstance du décès
Des suites de ses blessures.
Précisions
Volumineux hématome de la veine gauche, gangrène gazeuse.
Acte transcrit à Sceaux le 16 juin 1915.
Corps/régiment
1er bataillon de chasseurs à pied
Lieu de décès
Dans le sous-secteur du Mont Sans-Nom (Marne)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Profession
Etudiant en sciences
Date de naissance
27 avril 1898
Lieu de naissance
Paris , 75006
Faits d’armes
Cité à l'ordre du régiment le 1er octobre 1918 : Très bon grenadier-voltigeur, le 15 juillet 1918, surpris par l'ennemi sur la deuxième position et fait prisonnier, a réussi à s'évader. Rentré dans ses lignes, il s'est battu bravement à la grenade et a pris part à la contre attaque qui a brisé l'élan de l'adversaire. Cité à l'ordre du régiment le 18 octobre 1918 : Soldat au 101e régiment d'infanterie, mitrailleur très brave, connu de tous par son attitude splendide au feu. A été tué à sa pièce le 13 septembre 1918 alors qu'il la servait avec un courage admirable sous le bombardement d'une extrême violence.
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Date de décès
13 septembre 1918
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Jugement de décès rendu le 3 juin 1921 par le Tribunal de la Seine. Transcrit à Sceaux le 6 juillet 1921.
Corps/régiment
101e régiment d'infanterie, 2e compagnie
Spécialité
Grenadier-voltigeur
Lieu de décès
Fleury-Devant-Douaumont (Meuse)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Médaille(s)
Croix de Guerre
Situation familiale
Il se marie à Henriette Joséphine Hochard. Elle est employée par Henri Herpin à l'entreprise "Porte-billets Le Pratique" 91 boulevard Sébastopol à Paris. Elle demande l'acte de décès de son époux à Paris.ils ont un enfant. Sa belle-mère est à sa charge.
Date de naissance
06 novembre 1887
Lieu de naissance
Caen (Calvados)
Faits d’armes
Cité à l'ordre du jour du 317e régiment d'infanterie, 20e compagnie : Sergent Fourrier parfaitement dévoué, blessé au début de la campagne et revenu au front au bout de quelques semaines, a toujours accompli son devoir à l'entière satisfaction de ses chefs, en particulier pendant les combats de janvier, février, mars 1916.
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Date de décès
31 juillet 1916
Circonstance du décès
Tué à l'ennemi.
Précisions
Jugement de décès rendu par le Tribunal de la Seine. Transcrit à Sceaux le 11 juillet 1918.
Corps/régiment
317e régiment d'infanterie, 20e compagnie
Lieu de décès
Au bois d'Ailly (Meuse)
Lieu de recrutement
Seine 3e bureau , Paris
Situation familiale
Son père Arthur décède en 1913. Ses parents, ainsi que sa grand-mère (au 120 avenue d'Orléans à Paris) sont indiqués comme étant sans profession en 1913.La famille habitant avant la guerre à Sceaux, sa mère Félicité née Strebel demande l'inscription de son fils sur le monument aux Morts. A cette période, elle était vice-présidente de l'association des Dames françaises (antenne féminine de la Croix-Rouge), société de secours aux blessés militaires.
Date de naissance
29 octobre 1891
Faits d’armes
Présumé prisonnier.
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Date de décès
29 septembre 1914
Circonstance du décès
Disparu au combat.
Précisions
Jugement de décès rendu le 31 décembre 1920 par le Tribunal de la Seine. Transcrit à Sceaux le 24 février 1921.
Corps/régiment
171e régiment d'infanterie
Lieu de recrutement
Marseille (Bouches-du-Rhône)
Nom du soldat
Martin des Pallières
Médaille(s)
Croix de Guerre
Situation familiale
Son frère Henri est engagé volontaire en 1914. Il est caporal au 30e bataillon de chasseurs alpins puis au 62e. Il est blessé le 6 mars 1915 à Reichackerkopf (Alsace) par un éclat d'obus à la jambe gauche et soigné dans un hospice de Chambéry.Maurice, le frère aîné, est sergent au 75e régiment d'infanterie.
Date de naissance
26 octobre 1893
Lieu d’inhumation
Initialement inhumé au cimetière sud de Nuremberg, tombe 23, numéro d'ordre 109 (état civil de Nuremberg en 1921).
Le transfert du corps a lieu depuis Nuremberg à la gare de Robinson le 26 janvier 1926. L’État prend une partie des frais du cortège militaire à sa charge.
Il repose dans la concession familiale perpétuelle de la famille au cimetière de Sceaux achetée le 21 janvier 1920 dans la Division 13 Allée 1 ligne Droite tombe 19.
Faits d’armes
Nommé caporal le 4 août 1914, puis sergent le 3 septembre 1914. Blessé le 3 septembre 1914 de trois balles aux jambes dans les Vosges, fait prisonnier le dit jour.Cité à l'ordre du régiment du 17 avril 1924 : Sous officier d'une haute valeur morale animé des sentiments les plus élevés, d'une bravoure et d'un dévouement remarquable, a été blessé à Neuf-Etang le 3 septembre 1914.
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Date de décès
19 août 1916
Circonstance du décès
Maladie.
Précisions
Il contracte une maladie en captivité. Acte de décès transcrit à Marseille le 4 février 1918. Jugement de décès rendu le 18 mars 1921 par le Tribunal de la Seine. Transcrit à Sceaux en 1921.
Corps/régiment
75e régiment d'infanterie